le train ar à bras tiré.
Vous aurez remarqué que mis à part la 19 avec son empattement plus long, les sp5, R11-9, et Clio ont un train arrière joueur!!!! Trop pour certain et pas assez pour d’autres !!
Le problème réside ds la conception du bras tiré, la poutre centrale étant une vulgaire tôle et les articulations étant souples, le train arrière se déforme.
IL s’agit des bras de suspension qui sous l’effet d’une contrainte latérale ou verticale ont une légère tendance à se décaler vers l’intérieur dû effet à la longueur du bras de levier !!
(Donner moi un point d’appui, je bougerai le monde)
Cette déformation engendre des variations des angles de géométrie du train ar, ayant tendance à donner de l’ouverture à la roue arrière qui est en appui. Cette ouverture provoque un survirage qui peut s’avérer utile sur un tracé sinueux et lent, et qui permet « d’enrouler » les virages ou les S .
Dans le rapide ou les gros appuis, ou voir mm en sortie de courbe sur le couple, ce survirage est moins prononcé, mais peut s’avérer dangereux en cas de manœuvre d’évitement, de décélération brutale, mais surtout simplement dans une compression/détente due à un revêtement bosselé
Donc en exagérant vous avez les roues avants en ligne droites et ce sont les roues arrières qui braquent !!!! en gros une moissonneuse batteuse qui roule vite !!!!
L’objectif de la modification est de limiter la variation de l’ouverture du parallélisme du train arrière.
Le principe consiste à mettre en place une « barre anti-rapprochement » entre la poutre et la roue de chaque coté.
Les bielles étant réglables, on peut intervenir sur la rigidité/souplesse coté par coté.
Après des 1ers plans (loupés) et un premier essai concluant sur l’efficacité du système mais aussi à un problème de débattement, j’ai procédé à une évolution des pièces.
Pas mal d’heures de dessin, d’usinage et d’ajustage plus tard, voici la version quasi définitive du train arrière renforcé.











